La vie de château...
Lundi, je pars... vivre dans un palace, na ! Eh oui, quand je parlais d"une hospitalisation, je ne pensais pas qu'on allait me diriger dans un véritable château !
J'ain scruté le grand parc en m'attendant à voir sortir des buissons quelques personnages en costumes et perruques d'époque. Dans la salle d'attente, j'ai attendu de pied ferme le majordome à la livrée pourpre et lorsque Psybienaimé2 (va falloir qu'un jour, je songe à trouver des surnoms moins ironicosarcastiques aux gens moi!) est apparu en haut d'un mignonpetit escalier comme un artiste sur scène, j'ai aussi attendu... les trois coups !
Que dire de plus ? Des tas de choses :
- que vu le prix de la chambre avant prise en charge, j'ai demandé innocemment si le jaccuzzi fonctionnait correctement dans la salle de bain privative. La réponse amusée de la secrétaire fut décevante. Bouuh !
- que je vais manquer de livres... (oui déesse, je sais... ils sont déjà terminés ceux d'hier)
- que j'ai peur. monstrueusement peur...
... mais que je tente le coûp, parce que je m'en voudrais de ne pas tenter de m'en sortir... C'est comme en droit, au fond : on peut tout pardonner, sauf l'enfoncement volontaire et assidu dans un cercle vicieux. Et en parlant de droit, tiens, puisqu'après tout ce blog était à la base dédié à la justice... une question pour vous : A votre avis, où s'arrête la faute d'un coupable ? A ses actes, à ses intentions ou aux dégâts entraînés ? Vous vous doutez que l'interrogation n'est pas là que pour la déco, hein, alorrs si plus d'un demi pekin daigne y répondre, j'en serai ravie !
J'ain scruté le grand parc en m'attendant à voir sortir des buissons quelques personnages en costumes et perruques d'époque. Dans la salle d'attente, j'ai attendu de pied ferme le majordome à la livrée pourpre et lorsque Psybienaimé2 (va falloir qu'un jour, je songe à trouver des surnoms moins ironicosarcastiques aux gens moi!) est apparu en haut d'un mignonpetit escalier comme un artiste sur scène, j'ai aussi attendu... les trois coups !
Que dire de plus ? Des tas de choses :
- que vu le prix de la chambre avant prise en charge, j'ai demandé innocemment si le jaccuzzi fonctionnait correctement dans la salle de bain privative. La réponse amusée de la secrétaire fut décevante. Bouuh !
- que je vais manquer de livres... (oui déesse, je sais... ils sont déjà terminés ceux d'hier)
- que j'ai peur. monstrueusement peur...
... mais que je tente le coûp, parce que je m'en voudrais de ne pas tenter de m'en sortir... C'est comme en droit, au fond : on peut tout pardonner, sauf l'enfoncement volontaire et assidu dans un cercle vicieux. Et en parlant de droit, tiens, puisqu'après tout ce blog était à la base dédié à la justice... une question pour vous : A votre avis, où s'arrête la faute d'un coupable ? A ses actes, à ses intentions ou aux dégâts entraînés ? Vous vous doutez que l'interrogation n'est pas là que pour la déco, hein, alorrs si plus d'un demi pekin daigne y répondre, j'en serai ravie !