Pourquoi moi... ?
puisque la question de ma présence dans l'histoire de Siggy semble souvent revenir, je vais tacher d'expliquer mieux la chose.
Siggy était un camarade de jeux que j'appréciais pour son humour et ses qualités littéraires. On ne s'était ceci dit pas particulièrement parlé avant mi mars, où, quelque peu aigrie, j'avais un grand besoin de me dire que le monde n'était pas si méchant que ça. Même les superhéroïnes ont parfois des coups de blues. Si on a commencé à discuter, à la base, c'est parce que l'ami Siggy semblait malheureux, que ça sautait aux yeux... et qu'il me restait un petit fond de St bernardisme. J'ai posé la question la plus dangereuse qui soit "puis-je être utile ?"
Très vite, il m'a confié ses déboires conjugaux, ses peurs et sa tendresse pour une jeune femme qu'il ne voulait pas blesser. Mais en à peine trois jours, il a décidé de me parler de cette bagatelle qui lui valait une plainte. Plus, il m'a élue confidente/sauveuse/maman de substitution/déesse.
Au début, j'ai aidé Siggy parce que je voulais croire que l'homme que je "connaissais" avait juste besoin d'une bonne claque pour revenir au réel. Ensuite, parce qu'attachée à lui, j'avais l'impression qu'il faisait d'immenses efforts pour réparer le carnage qu'il provoquait.
Mais disons que mon altruisme s'est.. légèrement altéré en comprenant sa vraie nature et qu'à partir de là, j'ai été entraînée par tous les protagonistes de la pièce dans la tempête.
Aujourd'hui, je veux croire que Siggy n'a pas sa place en prison, ni en hp. Je veux croire au rêve d'un certain Mô. Mais si ça pouvait se réaliser sans me mettre en danger, entre nous, ça m'arrangerait un peu. J'sais, je suis égoïste !
Siggy était un camarade de jeux que j'appréciais pour son humour et ses qualités littéraires. On ne s'était ceci dit pas particulièrement parlé avant mi mars, où, quelque peu aigrie, j'avais un grand besoin de me dire que le monde n'était pas si méchant que ça. Même les superhéroïnes ont parfois des coups de blues. Si on a commencé à discuter, à la base, c'est parce que l'ami Siggy semblait malheureux, que ça sautait aux yeux... et qu'il me restait un petit fond de St bernardisme. J'ai posé la question la plus dangereuse qui soit "puis-je être utile ?"
Très vite, il m'a confié ses déboires conjugaux, ses peurs et sa tendresse pour une jeune femme qu'il ne voulait pas blesser. Mais en à peine trois jours, il a décidé de me parler de cette bagatelle qui lui valait une plainte. Plus, il m'a élue confidente/sauveuse/maman de substitution/déesse.
Au début, j'ai aidé Siggy parce que je voulais croire que l'homme que je "connaissais" avait juste besoin d'une bonne claque pour revenir au réel. Ensuite, parce qu'attachée à lui, j'avais l'impression qu'il faisait d'immenses efforts pour réparer le carnage qu'il provoquait.
Mais disons que mon altruisme s'est.. légèrement altéré en comprenant sa vraie nature et qu'à partir de là, j'ai été entraînée par tous les protagonistes de la pièce dans la tempête.
Aujourd'hui, je veux croire que Siggy n'a pas sa place en prison, ni en hp. Je veux croire au rêve d'un certain Mô. Mais si ça pouvait se réaliser sans me mettre en danger, entre nous, ça m'arrangerait un peu. J'sais, je suis égoïste !